La rédaction

Malgré la trentaine affichée sur son passeport (bientôt périmé), la rumeur court qu’elle porte 240 nombreuses années. 

Son amour, il est aux mots qui transforment sa vie en une passe de tango. Sa vie elle la danse, la langue bien pendue et l’âme guerrière. 

Julie calme sa fougue au travers de la peinture, de la littérature (big up au Marquis de Sade) et du jeu vidéo. 

Pour décompresser d’une journée bien chargée à l’EGS, elle s’y réfugie, munie de sa manette nano, à la recherche d’une autre forme de poésie.