Si Stéphanie sillonne les expositions pour Clubs & Concerts depuis 2008,
elle est aussi auteur chez Lonely Planet,
créatrice du e.shop de décoration ouestbarnabe.fr,
combine sérénité et convivialité à L’Esprit Canal (lespritcanal.com),
et est fan inconditionnelle des New York Mets.
Si son cœur s’emballe à la vue d’une marinière,
d’un adage de Merce Cunningham,
ou à l’odeur d’un livre juste sorti de l’imprimerie (liste non exhaustive),
elle est en revanche très mauvaise cuisinière.
Jean Luc Eluard a commencé à s’intéresser au journalisme
à cause d’un film (Les Hommes du Président)
et à s’intéresser au théâtre à cause d’une fille (heu… c’est personnel). Depuis, il passe ses étés à se brûler les fesses sur le macadam chaud des festivals d’arts de la rue et l’hiver à subir les états grippaux de ses voisins dans les salles de théâtre, ce qui prouve qu’il n’est pas bon d’être influençable. Son seul snobisme théâtral (un seul, c’est rare), est de dégoter des spectacles dont personne n’a encore entendu parler. Sinon, il s’intéresse à plein d’autres choses qui n’ont rien à voir avec la culture mais qui peuvent toujours être utiles à un journaliste.
Et cette fois-ci, ça ne doit rien à personne.
Martial Jesus est la moitié des forces vives du magasin Total Heaven à Bordeaux.
Depuis ce poste avancé, il apparaît bien placé pour parler de la scène locale, à travers les sorties physiques immanquables des groupes du cru. Un peu pousseur de disque à ses heures, avec son collègue Babouche, ou son épouse Laetitia ; un peu joueur de tambours avec Gordon à l’occasion ; il est surtout un fan ultime de Ween, ainsi qu’un indécrottable curieux.
Je suis chargé de vos papilles à Club et Concerts et parfois aussi d’autres petites choses. La rubrique food a été crée pour signaler de bons endroits qui sont à la portée du plus grand nombre. Mes devises pourraient être « Les mauvais restaurants sont toujours trop cher » et « Mieux vaut aller une fois au restaurant par mois si c’est bon que 10 fois si c’est mauvais ». Cela semble une lapalissade mais dans une ville comme Bordeaux où les restaurants se multiplient il est temps de méditer cette phrase apocryphe d’Epicure : « finalement, je ne vais pas ouvrir un kebab grec Place de la Victoire ».
Nicolas Guibert est projectionniste au Cinéma Utopia mais pas que…
Il est aussi fondateur du label bordelais Tentacule Records mais pas que…
Il est aussi admirateur des films de Michael Mann, Billy Wilder, Wong Kar Wai et Robert Altman mais pas que… Il est aussi convaincu que Moebius et J.G Ballard sont des prophètes mai pas que… Il n’a jamais vu aucun épisode de Games Of Thrones et pense que les séries télés ne remplaceront jamais le Cinéma.
En tout cas, il l’espère.
Né le même jour que Vivaldi et François Fillon, Guillaume prend bien soin de n’écouter ni l’un ni l’autre. Ayant un temps ambitionné la voie du journalisme, il s’est vite rendu compte qu’elle avait 9 chances sur 10 de conduire à un poste de planton pour BFM TV, où l’on confond Jonathan Richman et Jean-Luc Reichmann. Dès lors, en attendant que la Toile Mondiale ne se déchire (c’est pour bientôt), il préfère faire le branquibulle, aller voir des concerts, écouter des disques en pagaille et écrire dessus. Et regarder le Tour de France à la télé, aussi, mais ça n’a rien à voir avec la choucroute.
Visant est né au au temps que les moins d’un certain âge ne peuvent pas connaître.
Après une enfance perturbée — composée de pantalons marrons en velours côtelé moches, de pop-rock anglaise, de lectures déviantes et de longs soins psycho-thérapeutiques aussi exorbitants qu’inefficaces. Une fois en âge d’être pleinement responsable de ses dettes, il décida de devenir graphiste ce qui à défaut de manger correctement, lui permit d’avoir des sujets de conversation en soirée.
Il est surtout dessinateur de presse mais également directeur artistique, illustrateur, calligraphe, psychiatre pour chat et s’adonne à titre purement ludique à l’empaillage d’énarques vivants.
Malgré la trentaine affichée sur son passeport (bientôt périmé), la rumeur court qu’elle porte 240 nombreuses années.
Son amour, il est aux mots qui transforment sa vie en une passe de tango. Sa vie elle la danse, la langue bien pendue et l’âme guerrière.
Julie calme sa fougue au travers de la peinture, de la littérature (big up au Marquis de Sade) et du jeu vidéo.
Pour décompresser d’une journée bien chargée à l’EGS, elle s’y réfugie, munie de sa manette nano, à la recherche d’une autre forme de poésie.